« La disparition des gorilles, comme de nombreuses autres espèces, n’est pas une fatalité » (Noureddin Bongo Valentin)

Le coordinateur général des affaires présidentielles, Noureddin Bongo Valentin (au centre), en pleine discussion avec le président de la République (au centre-droit) © DR

Dans la nuit du 13 au 14 juin ou tôt le matin du 14 juin, un bébé gorille est né en milieu naturel au Gabon de deux parents issus de parcs zoologiques français et britannique. Une première mondiale qui n’a pas manqué de faire réagir le coordinateur général des affaires présidentielles, très porté sur les questions environnementales.   

« La disparition des gorilles (comme de nombreuses autres espèces) n’est pas une fatalité », a écrit Noureddin Bongo Valentin. 

« S’il y a une volonté politique et qu’elle se traduit en actes sur le terrain, l’espoir », assure le coordinateur général des affaires présidentielles, « est alors permis ».

Et celui-ci de faire observer que « c’est le cas au Gabon où le (Président de la République Ali Bongo Ondimba) a fait de la biodiversité une priorité ».

Le Gabon, champion africain de la cause environnementale

Le Gabon, dont le territoire est recouvert à 88 % par la forêt équatoriale, l’un des deux poumons verts de la planète, est considéré comme l’un des pays africains les plus engagés en faveur de la protection de l’environnement. Il a d’ailleurs été désigné chef de file des négociateurs africains dans la perspective de la COP 26 qui se déroulera en novembre prochain à Glasgow.

Il y a quelques jours, la Norvège a annoncé qu’elle verserait 17 millions de dollars au Gabon pour son action en faveur de la protection des forêts. Pièges naturels à carbone, celles-ci sont d’une importance capitale dans la lutte contre le réchauffement climatique (lire notre article).

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