Sur twitter, le président de la 75ème assemblée générale des Nations Unies, Volkan Bozkir, a félicité le Gabon, ainsi que les 14 autres pays qui ont été nommés mardi membres de cette institution pour une durée de trois ans.
« Je félicite (…) le Gabon (…) pour son élection comme membre du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU », a tweeté le 13 octobre dernier le président de la 75ème assemblée générale de l’ONU, Volkan Bozkir.
Des félicitations auxquelles le coordinateur général des affaires présidentielles n’a pas manqué de réagir. « Thanks a lot (merci beaucoup, NDLR)« , lui a chaleureusement répondu Noureddin Bongo Valentin sur – parallélisme des formes oblige – Twitter également.
Hier, sur Twitter toujours, le président Ali Bongo Ondimba s’était réjoui de la nomination du Gabon comme membre du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU. « C’est un grand honneur et une lourde responsabilité. Ici, comme ailleurs, notre pays, dont la diplomatie est très active, continuera d’œuvrer en faveur des droits humains et de promouvoir en particulier l’égalité femme-homme et le droit de chacun à vivre dignement dans un environnement sain », a écrit le chef de l’Etat gabonais, très actif au sein de l’UA comme de la communauté internationale (voir ses tweets ici et ici).
Une élection qui constitue tout sauf une surprise
La nomination du Gabon comme membre du Conseil des droits de l’Homme de l’ONU est cependant tout sauf une surprise (lire notre article), comme l’a d’ailleurs fait remarqué Noureddin Bongo Valentin sur Twitter. « C’est aussi la reconnaissance du rôle moteur joué par notre pays pour faire progresser les droits humains sous toutes leurs formes (égalité femme-homme, environnement…) », a-t-il indiqué hier sur ce réseau social.
Un message appuyé par celui, sur Twitter toujours, du porte-parole du chef de l’Etat. « Égalité des genres, non-discrimination selon l’orientation sexuelle, avancées en matière sociale/environnementale… L’élection du Gabon au Comité des droits de l’Homme de l’ONU est aussi la reconnaissance de toutes ces réalisations faites dans notre pays », a relevé, à juste titre, Jessye Ella Ekogha.
