A un an de l’élection présidentielle, Jeune Afrique a publié un article très fouillé consacré aux principaux leaders de l’opposition gabonaise. « Si les prétendants sont nombreux, l’heure semble aux querelles intestines et aux débauchages plutôt qu’à l’union des forces qui avait prévalu en 2016 », écrit l’hebdomadaire panafricain. En voici la conclusion.
« Face à cette opposition en désordre de bataille, Ali Bongo Ondimba, dont personne ne doute sérieusement, sauf imprévu, qu’il sera candidat en 2023, sait qu’il se trouve en position de force. « L’opposition gabonaise est éparpillée à la façon d’un puzzle. Le président détient pour l’instant toutes les cartes », reconnaît l’un de ses adversaires.
Le chef de l’État, dont la politique de main tendue à l’opposition s’est avérée efficace, comme en témoigne le ralliement récent de l’ex-ministre des Finances Charles M’Ba, devra toutefois veiller à ce que son camp ne reproduise pas les mêmes erreurs qu’en 2016, notamment en prenant la bataille présidentielle à la légère. Ici plus qu’ailleurs, le danger vient souvent de l’intérieur… »
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