Les conditions initiales de l’inhumation de ce jeune médecin gynécologue officiant à l’Hôpital d’instruction des armées d’Akanda, le deuxième patient à être décédé des suites d’une infection liée au Covid-19, avait suscité un tollé au Gabon et un coup de gueule de la part du Comité de riposte contre le coronavirus.
Lors de son point de presse quotidien, lundi 28 avril, le Dr Guy-Patrick Obiang Ndong, porte-parole du comité de pilotage et du plan de veille et de riposte contre l’épidémie à coronavirus (COPIL-Coronavirus), avait annoncé que des démarches auprès du ministère de la Justice avait débouché sur l’autorisation d’une nouvelle inhumation de ce jeune médecin gynécologue officiant à l’Hôpital d’instruction des armées d’Akanda, décédé le jeudi 23 avril dernier.
Celle-ci a eu lieu, après exhumation du corps ce mercredi 29 avril à Nkoltang en présence de sa famille, dont son épouse, qui a pu se recueillir sur le cercueil renfermant le défunt.
