Mercredi 13 juillet dernier à Libreville, la ministre de l’Education a convié à un dîner plusieurs enseignants et parties prenantes aux examens de fin d’année organisés dans tout le pays. Une manière de les honorer.
C’est une initiative remarquable.
Mercredi 13 juillet à Libreville, la ministre de l’Education et sa ministre déléguée ont convié à un dîner plusieurs enseignants et parties prenantes aux examens de fin d’année organisés dans l’ensemble du pays.
A cette occasion, les deux membres du gouvernement ont tenu à adresser au nom du chef de l’État la reconnaissance et les encouragements à l’ensemble de la profession.
« Le président de la République est satisfait du travail que nous avons tous fait ensemble. Avec la ministre déléguée, nous avons voulu vous réunir pour vous transmettre avec humilité ce message. Le président de la République veut qu’on puisse valoriser votre fonction, vous enseignants, parce qu’il a conscience que la valeur de ce capital humain, de ce que vous représentez pour la nation, pour l’avenir et le développement de notre pays », a déclaré Camélia Ntoutoume Leclerq avant de faire part aux enseignants des attentes du président Ali Bongo Ondimba à leur endroit.
Parmi celles-ci, le fait d’être « des enseignements novateurs », c’est à dire qui n’hésitent pas à adopter des méthodes pédagogiques à même de tirer vers le haut le niveau des élèves. Une attente qui, selon la ministre, qui s’est entretenue avec le chef de l’Etat le 24 juin dernier au Palais Rénovation, devrait être testée dès la rentrée prochaine en particulier sur les sujets environnementaux qui feront désormais l’objet d’un enseignement poussé à l’école.
