Julien Nkoghe Bekalé a ouvert ce mardi à Libreville le dialogue avec les leaders syndicaux.
« J’appelle à un dialogue qui devra désormais favoriser l’anticipation et la négociation au détriment de la toujours dommageable confrontation. Un dialogue, si il est conduit sans interruption et en bonne intelligence, nous mettrait à l’abri des situations de grèves, parfois intempestives, parfois injustifiées et toujours contre-productives. Des grèves qui brident l’action du gouvernement, qui ruinent notre économie et ravivent d’inutiles antagonismes », a déclaré en ouverture de ce dialogue social le premier ministre.
Le premier ministre était accompagné pour l’occasion de quelques uns des membres du gouvernement, dont la ministre de la Fonction publique, Madeleine Berre.
Il s’agit notamment de discuter des réformes touchant à la fonction publique ou aux bourses étudiantes. « Il faudrait cependant élargir le spectre des sujets traités à la formation, à l’emploi, ainsi qu’aux questions de sécurité sociale et de retraites », explique le chef économiste d’une des plus grandes banques de la place.
