Le chef de l’Etat gabonais s’est longuement confié à Jeune Afrique. Dans une grande et passionnante interview, il revient notamment sur les incidents qui ont éclaté après l’annonce de sa victoire lors de la présidentielle de 2016. Instructif. Extrait.
« On glose beaucoup sur 2016 mais il faut rappeler que ces violences ont été limitées, surtout si on les compare à ce qui se passe dans les autres pays sur le continent ou même ailleurs. Or, cette comparaison n’est jamais faite. Ensuite, si j’ai pris l’initiative de cette concertation majorité-opposition pour « des élections aux lendemains apaisés » (qui s’est déroulée en février dernier, NDLR), c’est bien pour prévenir un certain nombre d’incidents. Les réformes de la Constitution et du Code électoral vont nous y aider. »
Lire l’intégralité de cette interview dans l’édition du mois de juin 2023 de Jeune Afrique.